Analyse d’Émilie Jolie, un conte pas si moderne
dimanche 15 janvier 2017Émilie Jolie, c’est difficile d’y avoir échappé quand on est né dans les années 70 (et visiblement, après aussi). Je me souviens bien du 33 tours, de la pochette et des dessins. Ils avaient un petit aspect inquiétants.
Et je me souviens aussi, malgré le caractère indéniablement sympathique et enlevé de l’essentiel du disque, d’avoir toujours eu des moments de flottement, voire d’angoisse, que je n’arrivais pas bien à identifier.