Analyse d’Émilie Jolie, un conte pas si moderne
dimanche 15 janvier 2017
Émilie Jolie, c’est difficile d’y avoir échappé quand on est né dans les années 70 (et visiblement, après aussi). Je me souviens bien du 33 tours, de la pochette et des dessins. Ils avaient un petit aspect inquiétants.
Et je me souviens aussi, malgré le caractère indéniablement sympathique et enlevé de l’essentiel du disque, d’avoir toujours eu des moments de flottement, voire d’angoisse, que je n’arrivais pas bien à identifier.


L’un des arguments principaux justifiant le recours à un framework (par exemple, au hasard, 
Dans le développement web comme dans la programmation en général, on utilise beaucoup de termes empruntés à l’anglais, dans des versions plus ou moins traduites ou transposées. Comme dans tout langage technique où on utilise, à plus ou moins bon escient, des termes d’origine étrangère, ça donne lieu dans les échanges oraux ou écrits à des phrases mélangeant allègrement des mots d’origines diverses, dans un melting-pot qui souvent frise le ridicule, mais parfois recèle une bonne dose de poésie (oui, bon, moi ça me parle, cette poésie, je sais bien que ça n’est pas forcément le cas de tout le monde, mais c’est comme ça).
Comme l’harmonie des sphères a l’air parfaitement réglée, il se trouve qu’hier un article a été posté sur slate.fr (
Il y a de cela quelque temps, un certain Fabien Potencier a commis un fort inspirant article de blog : 

